Brésil
Au Brésil, face à la crise du logement, il y à une association pour venir en aide aux personnes défavorisés.
L’association « Ma maison ma vie », qui à démarrer en 2009, a été un pari de taille pour le développement urbain donnant un accès aux classes moyennes et populaires à des logements modestes à bas prix.
Depuis 2015, l’ingénieur Luis Garcia s’occupe d’une partie du projet de lotissements en optimisant les terrains et quartiers, afin de pouvoir d’offrir le prix le plus bas du marché avec les conditions strictes du cahier de charges fourni par l’état Brésilien et contrôlé par la société Belge Garcia Services Engineering.
En 2021, la société Garcia Services Engineering, crée une synergie avec une entité qui est la société Garcia Construçoes Ltda: dans le but de pouvoir collaborer de façon plus directe sur les projets architecturelles de haut standing.
La société Garcia Construçoes Ltda, est situé en Belo Horizonte, une région en plein développement au Brésil.
Monsieur Luis Garcia, participe de façon active et à distance dans ce projet comme objectif de permettre un accès à un logement décent dans un pays ou 45% de la population vit dans la précarité et pauvreté .
Le covid à ralenti le projet de livraison des maisons, mais à ce jour plus de 640 ont été livrées, nous espérons pouvoir encore livrée 200 unités d’ici 2026.
En 2028 un nouveau projet de centre commercial sera mis en avant dans le quartier populaire ainsi que 3 écoles verrons le jour, pour fermer la boucle du quartier social.
La valorisation de l’urbanisation augmente 3 à 5% par an, pour venir se stabiliser à 20% une fois l’ensemble terminé.
La plus-value des ventes sert à réinvestir dans de nouveaux lotissements et projets communautaires ;
- pleine de jeux
- parcs
- terrains de football
- l’entretiens des quartiers
Mot de Luis Garcia
Le fait de pouvoir mettre mon métier et connaissances à contribution pour ce projet, a été un grand honneur.
Tout d’abord comme assistant en 2013, chef de projet en 2015 et ingénieur civil responsable depuis 2019 jusqu’à ce jour.
L’utilisation des matériaux locaux, utiliser le savoir-faire et méthodes locales a été un challenge de taille, car nous avons nos habitudes en Europe, nos consignes et façons de construire.
S’ habituer à cette façon n’a pas été de tout repos, entre s’assurer des bonnes commandes, le respect des budgets des entrepreneurs, et leurs plannings ainsi que le suivi des plans et consignés.
Mais très vite, les premières rangés de maison sont sorties de terre, en moyenne 45 unités par trimestre depuis le début, avec une période plus calme au démarrage et pendant le covid, mais sur l’ensemble tout le monde a tenu ses engagements.